La façon de « penser le travail » aux USA est-elle à envier au système français ? Quelles sont les différences de culture tech entre ces 2 pays ?
On en parle dans l’épisode du jour avec Julien Delange, fondateur de la plateforme Code Inspector, installé aux USA.
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Derniers commentaires :
Jo Jo
il y a plus de 3 ans
Dans le même esprit moi je suis passé sur un bureau assis/debout, pour alterner les positions assis ou debout donc, mais je me surprends à passer finalement plus de temps debout, je me sens beaucoup mieux de travailler ainsi !
julie Ramadanoski
il y a plus de 3 ans
Peu importe la chaise, seules comptent la posture et la musculature pour la soutenir. Le faux confort est très répandu. Il nous invite à nous avachir, prendre des postures douloureuses ! le dos rond, les épaules rentrées, la tête retenue en avant...
L'idéal c'est de se sentir debout mais assis. Vous le ressentirez vraiment sur un swissball, car il y a le déséquilibre à compenser. De ce que j'ai essayé comme config jusqu’à présent, c'est celle que j'ai préféré (tant que ce n'est pas l'été...)
Aujourd'hui j'ai une chaise de bureau à 100 balles dont l'assise est tellement longue que je ne peux pas m'assoir au fond. Que le dossier est tellement mou que je ne peux m'appuyer dessus sans m'allonger, et avec des accoudoirs inamovibles trop larges pour mes épaules. Bref un tabouret serait plus confort XD
L'idéal c'est de se sentir debout mais assis. Vous le ressentirez vraiment sur un swissball, car il y a le déséquilibre à compenser. De ce que j'ai essayé comme config jusqu’à présent, c'est celle que j'ai préféré (tant que ce n'est pas l'été...)
Aujourd'hui j'ai une chaise de bureau à 100 balles dont l'assise est tellement longue que je ne peux pas m'assoir au fond. Que le dossier est tellement mou que je ne peux m'appuyer dessus sans m'allonger, et avec des accoudoirs inamovibles trop larges pour mes épaules. Bref un tabouret serait plus confort XD
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Mais t'as raison, y avait baleine sous gravier ;-)
Pourtant c'est une méthode qui marche : bien communiquer sur les besoins client, sur les difficultés rencontrées et laisser les équipes inventer des solutions (on peut bien sûr les guider au moyen d'ateliers). Ensuite prendre ce qui a été créé et en extraire ce qui peut être développé sous forme de produits et de services.
C'est un changement dans la manière d'appréhender la relation marketing/production, basée sur la confiance et l'encouragement à essayer et faire des erreurs pour progresser. et dans pas mal d'organisations, on en est loin...